Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Heavy Woarang

13 février 2014

Critique d'album, Imaginos

Imaginos, by Blue Oyster Cult

 “A bedtime story for the children of the damned,

 From a dream world, paralleling our earth in time and space, the invisible ones (Les invisibles) have sent an agent who will dream the dream of history. With limitless power he becomes the greatest actor of the 19th century. Taking on many ingenious disguises, he places himself at pivotal junctures in history, continually altering its course and testing our ability to respond to the challenge of evil. His name is “imaginos” “

 Tel sont les mots écrits par Sandy Perlman, inspiré de sa propre série de poèmes sur la théorie du complot, les « Soft Doctrines Of The Imaginos », que Stephen King prononçait sur les premières démos de l’album, mais qui ni figures quand un texte placardé sur le dos du vinyle, (je ne sais pour quel raison indicible, mais il est possible de trouver la piste avec King dans les bonus de « The Colombia Albums Collection »). A savoir, le nom du culte de l’huitre bleu, ainsi que toute l’imagerie fantastique les entourant d’ésotérisme typé 19 ème, viennent également de leur mentor, parolier et producteur Sandy Perlman, et pour cet album, il c’est impliqué plus encore qu’auparavant.

 L’album concept, Imaginos, est l’explication, et l’apothéose de tout le fantastique du Cult, la fin du mystère sur les origines de la « secte du rock ». C’est aussi un mélange savant de Hard Rock, de Heavy Metal, de Rock Psyché, de Rock et Metal Progressif, de compositeurs géniaux, et d’un nombre incroyable de musiciens talentueux invités à rejoinde le culte de l’huitre, à savoir : Kenny Aaronson (Rick Derringer), Robbie Krieger (The Doors), Joe Satriani, Tommy Price (Joan Jett), Tommy Zvoncheck (The Boss, John Lyndon), Joey Cerisano, tony « Jack Secret » Geranios (techniciens de Rush) et bien d’autres moins connues…Oui peut, ou pas de Metalleu et presque aucun Hardos, mais justement !

 Toutes les pistes se suivent sans perdre leurs souffles, toujours innovantes et jamais autres choses que du gros rock ésotériques, pourtant éclectique mais blueoystercultiesque, différentes et mystiques, et cette eclecticité se ressent grâce aux backs vocals ou les Invisibles discutent ; aux solos de guitares tantôts techniques, tantôts inspiré au feeling dépassants le commun, le tout placé sur du Heavy Rock Hard Metal Psychédélique ; mais aussi par l’apport de clavier aux sons électroniques très légers soutenants l’atmosphère, et se contentant d’appuyer les compos. Cet éclectisme n’est dû qu’à l’absence de musiciens Hardos, ouvrant les horizons de l’album à tous ceux brassé par les intervenants, et seul le style musical particulier de cet album rock très heavy, pourra écarter un néophyte peu habitué à la grande musique.

 Petit tour d’horizon rapide : « I am the One You Warned Me Of », première piste, reste très hard rock de base, mais est ponctué par des solos Darhmaiens, et appuyé par un riff puissant. Cela étant, ce titre est pour moi le plus faible, pas mauvais, mais peu inspiré. Ce sont les « tou-doum, tou-doum » de « Les Invisibles » qui font rentrés dans le vif du sujet, déjà les sons se font plus effrayants et dark, les voix astronomiques, les guitares crachent le feu cosmique, et le voyage débute à travers les péripéties du protagoniste. Ensuite nous arrivons en présence d’un autre monde, qui est un morceau « extrêment » merveilleux, fabuleux, innovateur, sombre, intelligent, touristique. Puis s’enchainent sans s’arrêter les moments ingénieux de l’album, du chant de Cerisano sur le haut du château de Weisseria, à la refonte du vieux titre « Astronomy », de « Secret Treatries » parfaitement intégré, et logiquement placé sur l’album (le texte étant un poème de Perlman du même recueil qu’Imaginos, parlant d’un certain Desdinova provoquant la 1ère guerre mondiale). Avant dernière piste, « Blue Oyster Cult » et son texte plus délirant encore que n’importe qu’elle « In A Gadda Da Vidda » d’ Iron Butterflie, est le deuxième gros moment de l’album, après « In the Presence of Another World », et tous fini sur l’explosion d’ « Imaginos ».

 Ce skeud sera le dernier avec la formation originale des huitres, mais il est aussi le meilleure travaille de Blue Oyster cult depuis au moins « Secret Treatries » (leur troisième album), cela dit loin de moi l’idée de dire que les nombreux albums entre les deux cité seraient mauvais.

 Il ne vous reste plus qu’à partir à la recherche de CD presque introuvable, ou du Vinyle, et à attendre l’arrivée du vaisseau spatiale qui m’enleva dès la première note, pour ne me ramener chez moi, qu’après la dernière. Your master is a monster !

 

20/20

Publicité
Publicité
12 février 2014

Critique de l'album ride the lightning

Ride The Lightning, By Metallica

 Le second album des four horsemen est une perle rare d’ingéniosités, d’originalités, d’inspirations et de finesses structurels et rythmiques. En témoigne le tout début de l’album « Fight fire With Fire » qui s’ouvre sur un morceau de guitare classique typé baroque, montrant au passage l’affection que portait le bassiste des Mets, feu Cliff Burton, pour ce genre musicale, et déclarant au monde « oui, le Metal c’est de la grande musique ». On savait déjà que Metallica était un mélange de Heavy (Judas Priest, Black Sabbath, Saxon, Diamond Head), de Punk (The Misfits, The Kinks), et de Rock Progressif (Rush), mais on ne savait pas encore leur amour pour la musique savante… et on ne savait pas non plus leur amour pour la grande littérature. Car oui, ici on a le droit à du Enrnest Emigway, Howard Philip Lovecraft, et LA BIBLE !!! En vérité, ce skeud est la synthèse de tout ce que le Heavy Metal à fait de plus intellectuel et haut, car Burton qui amena la maturité dans le band, était l’exemple parfait de l’intellectualité ambulante qu’est le fan de rock lambda, une usine à connaissance touche à tout ! Le rock étant varié, le fan l’est tout autant ! Et c’est ça qu’est le groupe, Metallica est un groupe de fan… de fan de Rock !

 N’ayant aucune idée pour un plan, et au vue de l’égalité de répartition des pistes et de la grande qualité globale des morceaux, et de la (trop ?) courte durée de l’album, je ferais une analyse dans le bonne ordre et de tous les morceaux :

 La première piste est une satire comique parlant de destruction, de guerre, de bombe nucléaire, la guitare de Kirk Hammet s’amuse d’ailleurs à une mimésis de jolie explosion à la fin du morceau, ponctuant l’arrivé du morceau éponyme de l’album, morceau combattant la peine de mort, ou du moins la chaise électrique. Notons au passage la très vilaine pochette d’album présentant une chaise devant un éclair, pochette toujours aussi merdique sur l’ensemble des disques de Metallica (le black album avait la décence de ne rien montrer du tout !). On entend déjà sur les premier titre que les médiums aigues, caractéristiques du Heavy classique, et indissociables de groupes tel qu’Accept, ou Judas Priest, son ici très faible, surpassé par les basses, base du futur Trash Metal que Metallica à commencer à inauguré. Très mélodique et heavy, la voix chante bien plus que sur « Kill em all », (même si il s’agit toujours plus d’aboiements…) mais les structures des morceaux sont cadenassé et excellentes, et auraient même pu se passer du chant/crie, qui pourtant magnifie le tout !

 Ernest Hemingway avec « pour qui sonne le glas », est le premier « grand » morceau. La basse est mise en lead et distordu, énième bonne influence de Burton alors que la troisième piste ne vient que de débuter (admiration personnelle d’un bassiste par un autre:) ). Changements de rythmes, bruits incorporés et contrastes : on pourrait entendre du Rock Progressif structuré la violence de Metallica. On ressent aussi la patte des riffs de Dave Mustaine, (anciens membres viré) qui contrairement à ceux qu’il construit pour Megadeth, son ici parfaitement orchestré et non pas enchainé les uns à la suite des autres, parfois sans cohérences, et cela grâce au génie de Burton, Ulrich et Hetfield. On ressent ici la puissance d’une musique telle que « Black Sabbath » du Sabbh, jamais les ténèbres n’ont été plus rageurs que dans cette ambiance monstrueuse. Les solo sont orageux et très bruitiste même s’il n’y en a pas de vrai (et tant mieux car cela rend la structure du morceau une nouvelle fois fine et complexe)

 En effet, on pourra remarquer que dans tout l’album, chaque musique à un agencement différent, contrairement à la règle pop courante où l’on trouve exclusivement du : couplet, refrein, couplet, refrein solo, refrein, refrein. Ici on a par exemple un : intro, couplet, couplet 2, refrein, pont 1, couplet 2, Refrain, solo, pont 2, refrain, outro, etc… du prog quoi !

 Nouveau pour Metallica, une ballade, la quatrième piste « Fade To Black », fait son apparition, mais seulement à moitié, car elle n’est qu’à moitié ce que l’on nomme une power ballade. Le morceau qui commence comme une ballade, s’intensifie et accélère puissement, j’jusqu’au solo énorme, monstrueux, qui termine le morceau sur une apothéose appuyer par un riff très riche. Logiquement, c’est une musique très controversé pour ses paroles, pas si choquante (car écrite par Hetfield après le vol de matériel scénique du groupe, et donc plus vécue que subversive,) mais aussi par les fans. En effet à cette époque la voie emprunté par « Kill’em All » semblait différencié Metallica du Heavy Metal Traditionnel, par sa violence presque punk, et l’arrivée d’une ballade pouvait signifier un retour vers le Heavy, ce qui arriva en effet. Mais d’autre groupe comme, Megadeth, Slayer, Anthrax et Testament allait faire perdurer le style que l’on nomme à présent : Trash Metal.

 Les cinquième et sixième pistes, « Trapped Under Ice » inspiré de H.P Lovecraft que Burton à fait découvrir à Hetfield, et « Escape », sont du Speed Metal très classique, mais avec la mélodicité et la profondeur d’une compos des débuts de Metallica. On peut cependant noter l’originalité de certains riffs, personne n’as jamais rejoué les mêmes, avant ou après, bien qu’il soit dur de ne pas rejouer des riffs préexistant, et cela même au début des années 80… c’est le génie qui s’exprime.

 Et enfin arrive « Creeping Death » ! La musique représentative de l’album, voire du groupe (après « Master of Puppets ») : speed pour le rythme, Heavy pour ses sons, progressiste (car rock progressif c’est de l’anglais et se traduit par progressiste, et pas progressif (ce qui fait comprendre ce qu’est le progressif aux ignards !)), avec des bruits de cloches, des sirènes d’alarmes, et le public ajouté sur la version studio pour le pont, disant Die, Die, Die !. Tout est bon, originale et nouveau. Affublé d'un texte sur les dix plaies d’Egypte tiré de l’ancien testament, le titre réittère le bon gout de Metallica (je ne suis pas croyant, mais cultivé)…et je redit avec the fucking best ever pont of the whole world ! Die, Die !

Mais quoi de mieux pour finir que « The call of Ktulu » (Cthulhu en vrai), selon moi le meilleur instrumental des quatre cavliers, très imagé, très beau. On assiste presque à l’arrivé du grand ancien de Ryl’eh et à son départ.

 Tout ça pour dire que « Ride the lightning », s’il n’est pas le meilleur album de Metallica, il n’en est pas loin du tout, et il restera mon préféré, bien que le mixage ai été fait au Danemark et dans les années 80, et que putain ça s’entend à mort. Les gars que vous n’aviez pas de frics…mais pourquoi faire pire quand vous en avez (sans parler du massacre d’ « And Justice For All… » où la basse de Jason Newsted à disparue étrangement !).

17 /20

8 février 2014

Pour bientot

 Je vais poster quelques critiques d'albums rock, j'ai bon goût, donc vous pourrez vous y tenir !

5 octobre 2013

Recommandation pour les fan de sci fi

Lisez : "Cal de Ter", c'est une saga géniale. Je n'ai que ca à dire.

18 mai 2013

Un poème (de moi) sur les moutons que sont les gens

Les huitres de la mère

 

Les enfants huitres nagent maintenant,

Les enfants suivent et partent à temps

De temps en temps ils suivent les vagues

Et parfois même la lune instable

 

Les enfants huitres dans la nuit

Pluton marche à l’horizon

Sable fin et bruit du temps

Soulèvent lentement leurs mains sans fin

 

Nous somme loin, près du vivant

Et les hommes sont bien ensemble, enfin

Dormez bien enfants malin

Réveillez vous bien demain

 

Stoïque et pleurant, non loin du mourant

Les enfants huitres sont dans leurs bains

Les orphelins de la mer bleue

Sont miens maintenant et passent au festin

 

Un gout salé loin du sucré

Se meurt enfin un gout divin

Les enfants roi sont bien partie

Dans les affres du midi

 

La mer s’éveille émoustillé

Ses enfants sont partie non loin d’elle

L’empire sorcier du monde entier

Pleure la perte des enfants huitres, carré

 

Achéron, dieux de leurs horizons !

Et jamais plus ne plut.

Publicité
Publicité
23 avril 2013

Deep Web

Deep Web, la face cachée d’Internet… ou comment recevoir un kilo de cocaïne par la Poste

Comme beaucoup d’entre vous le savent déjà, certaines personnes sont parfois payées en tant que hacker (dans le sens premier du terme : bidouilleur) par des sociétés bien connues afin d’obtenir certaines informations. Le but sera donc de vous emmener tout au long de cet article dans un coin plus sombre et peu connu d’internet, qui n’est accessible qu’avec certains outils

ATTENTION : Cet article n’a en aucun cas vocation à encourager ce genre de pratique( mais l'inverse), son seul but est informationnel. Acheter de la drogue, des armes et autres types de produits illicites est gravement puni par la loi et j'emmerde les connards qui le fond !

Quels sont les objectifs premiers de l’article ?

  1. L’internet référencé par Google n’est qu’une petite partie dans l’immensité du web
  2. Internet est et restera un Far-west digital ingérable
  3. On peut se faire livrer 1kg de cocaïne dans son jardin (oui oui)

Le Deep Web en général, est la partie immergée de l’iceberg, les pages non atteignables (puisque non indexées) par les moteurs de recherches grand public. Une «partie» qui représenterai environ 75-80% de l’internet (environ 1 trilliard de pages).

1

Il s’agit donc alors de la couche cryptée, puisque atteignable uniquement à travers un proxy. Elle contient un contenu souvent illégal et donc logiquement plus intéressant à étudier.

2

Que cache cette partie cachée de l’iceberg ?

Cette couche internet, tout comme le monde carcéral, possède sa propre monnaie (lesBitcoins), ses propres codes (confiance entre magouilleurs, chasse/délation des pédophiles) et ses propres modes d’accès (Tor entre autres).

Pour atteindre la majorité de ces sites non référencés, il faut passer par Tor (un navigateur « anonyme ») et surtout connaître à l’avance les adresses que l’on souhaite visiter qui ressemblent souvent à cela : kpvz7kizv5agwt35.onion (ici le Hidden Wiki au moment de l’étude).

Mais en cherchant bien, il est possible de tomber sur quelques perles comme Silkroad. Ce «petit site » communautaire, enfant illégitime d’Amazon et Ebay, engrangerait 1.2 million de dollars par mois et propose une myriade de produit allant de la fausse rolex à la pure colombienne premier choix vendue au gramme.

Comment cela fonctionne ?

Le principe de fonctionnement est assez simple : tout comme Amazon Marketplace, il suffit de créer un compte (sans laisser ses informations personnelles bien sûr), puis laisser le moteur de recherche remuer la base de données de produits mis en ligne par les vendeurs afin de repérer le produit qui nous intéresse.

Par exemple, il est possible de choisir parmi les quelques milliers de drogues proposées : Hash, héroïne, cocaïne ou LSD… se mettre en relation avec le vendeur, lui envoyer l’adresse de livraison voulue cryptée (que seul le vendeur sera en mesure de lire) puis le payer en Bitcoins : une monnaie 100% virtuelle développée par un japonais : Satoshi Nakamoto.

3

Silkroad pose donc un gros problème aux forces de l’ordre puisque sans trace postale (adresse cryptée connue uniquement par le vendeur), sans trace digitale (Tor,  presque intraçable) et surtout sans trace de transaction monétaire (les bitcoins circulent de compte en compte sans arrêt et sont impossible à suivre). La seule manière d’intercepter les colis étant dans les centres postaux. Mais la drogue étant envoyée dans un emballage de plusieurs couches sous vide (et donc sans odeur) devient alors difficile à trouver.

Toujours plus loin…

4

Mais l’équipe de Silkroad, en bon entrepreneurs cherchent toujours à se diversifier… Les fondateurs ont donc décidé d’ouvrir The Armory.

Le principe est le même que pour Silkroad : les vendeurs proposent des biens (ici des armes), les acheteurs donnent leurs adresses cryptées et payent toujours par Bitcoins. On peut donc selon les stocks acheter un AK-47 avec « en bonus 1000 munitions » (on remarquera le sens du marketing), que l’on pourra se faire livrer par la poste, ou en dead-drop (on donne des références GPS et le vendeur pose/enterre/cache le produit aux coordonnées).
Mais The Armory c’est aussi des gilets pare balles pour se protéger des AK cités plus haut ou des RPG-7 (et autres types de bazooka) pour les fourgons et les porteurs de gilets pare balles…

Un véritable repère de malfaiteurs ?

Deep Web ne contient pas uniquement le fruit des équipes de Silkroad, on y fait d’autres découvertes intéressantes en se promenant de lien en lien…

On trouvera ainsi les petites annonces des tueurs à gages avec des tarifs différenciés selon les tâches demandées :
« 10 000 –euros- for normal people
20 000 for businessmen
50 000 for politicians and cops »…

Et d’autres tarifs plus précis pour les commandes spéciales (trophées, mutilations…)

5

 

Les services de black hats hackers (les « vilains » pirates)

La possibilité pour des chefs d’entreprise, politiciens ou particuliers de détruire à peu près tout pour un certain montant.

6L’achat de numéros de cartes bancaires ou de « clones » (copies de cartes bancaires avec le code PIN fourni pour pouvoir l’utiliser en magasin ou pour des retraits).

- Le blocage total des communicationstéléphoniques et internet d’une entreprise ou d’un particulier pour un prix allant jusqu’à 20 euros par jour.

- La mise sous écoute électronique de l’intéressé avec toutes les informations disponibles  sur un serveur privé.

- La disparition mystérieuse d’une personne d’une ou de toutes bases de données : disparition de la base de donnée de la sécurité sociale, de son compte en banque, de sa scolarité… (Pour une dizaine de millier d’euros).

L’achat de diplômes, la plupart du temps avec inscription dans les bases de données de la fac/école concernée, rendant le tout indétectable (2000-3000 euros environ pour un Master 2 à la Sorbonne).

- Et bien entendu les faux papiers.

Mais aussi repère d’autres activités sous-terraines…

C’est aussi tristement le repère de certaines « communautés » pédophiles, accueillant sur certains sites jusqu’à 100 To de contenu pédophile et consulté par plusieurs milliers de membres. Ces sites ont cependant une durée de vie relativement faible, le monde hackers tout comme le monde carcéral entretient une haine avouée pour la chose. La destruction de ces sites, de leurs contenus et la publication de leur membre est donc très fréquente.

Les bibliothèques du Deep Web, militent pour une diffusion sans limite de l’information où il est possible de télécharger des dizaines de milliers de livres, documents et autre informations piratés (comme pouvait le faire Wikileaks plus publiquement).

Les forums politiques et activistes extrêmes dont certaines cellules des Anonymous (responsables de la fermeture de nombreux sites pédophiles). Plus difficiles d’accès, on y discute les prochaines étapes des organisations et on y fait circuler librement l’information.

Vous l’aurez donc compris, le Deep Web, c’est une majorité de pages mortes, mais aussi l’endroit le plus « libre » d’internet, avec beaucoup de parts sombres puisque la surveillance et la censure bien que présente, y est encore plus ridicule que sur le reste du Web.

Vous doutiez-vous de tout ce contenu présent sur la Toile ?

15 avril 2013

Erreur

Je suis désolé dans mon précédent post, j'ai marquer Systeme Of a Down mais ce n'est pas à ce groupe que je pensais mais à P.O.D. Et j'ajouterai que les groupes que je cite et décrie comme des faux-groupes de metal, ne sont pas pour autant forcément des mauvais groupes (ceux que je cite le son effectivement), Rammstein est un exemple flagrant j'adore Rammstein, je trouve mème que leur musique est l'oeuvre de génie, ils on crée un nouveau genre de musique, cependeant il n'y a pas besoin de beaucoup si connaitre en musicologie pour entendre qu'ils n'ont presque aucun (voire pas du tout) de schéma musicaux classique du Heavy Metal! Et mème je dirais que les classé dans le Metal est restricteur, car il ne font pas du rock violent bète et méchant comme plusieurs groupes des années 1990-2000, mais bel et bien de l'art !!!!!! Art!!!!!! Art!!!!! Un petit mot qui décrit ce qu'est la vraie musique (vous savez celle qui n'est pas crée à des fin purement commerciale "i still loving youuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu" non je ne critique pas Scorpions, seulement trois albums).

14 mars 2013

La différence entre Hard Rock et Heavy Metal (traditionnel) (et le néo-metal là dedans ?)

C'est amusant de parler avec des gens incultes :" à mon époques le metal, on appelait ça du hard rock". Bien sur, c'est cà et le jazz on appelait ça de la musique savante (classique).

Y a aussi le coup du "j'ai du mal avec le metal, je préfère des groupes de hard rock comme black sabbath, iron maiden et judas priest" au cas ou vous ne l'auriez pas compris se sont des groupes de heavy metal, et le vieu qui m'a dit ca pensait que le metal était le style de merde de groupe comme Slipknot (beuark)

Le Heavy Metal n'a jamais été du Hard Rock, les deux se complète sans se mélangé, les deux tirent leurs racines de Led Zepplin, Deep Purple et Black Sabbath (ce sont le premiers groupes de Hard et Heavy) mais le metal n'est pas le nouveau nom du Hard Rock, ce qu'il y a c'est qu' en france, seuls les connaisseurs parlaient de Heavy Metal, les autres n'étant pas musicologue, mélangeait ces deux styles très proches et croyaient que tout étaient du Hard Rock à peu près jusqu'à la fin des anées 80 en france.

 Donc soit vous pensé que écouter du néo-metal c'est écouter du metal, soit vous penser que le metal est du néo-metal et que Judas Priest est du Hard Rock (ce qui est faux), mais dans ces deux cas vous ne connaissez rien à la musicologie mes amis. Le metal c'est la toute fin des anées 60 et pas les merdes des années 90. 

Ah oui et le néo-metal peut'il être considérer comme du metal alors que sa musique est seulement d'inspiration metal et souvent à moitié rap ou punk ? (se qui vous en conviendrez n'as pas grand chose avoir ) C'est une question à laquelle les "vrai" metalleux (ceux qui s'y connaissent et qui on 30 ans, pas 12 ans comme les fans de Manson(qui n'est d'ailleur pas un groupe de metal non plus)) répondent par : non !!!! Le néo-metal est une branche du rock alternatif, il n'a donc aucun rapport du tout mais les teenagers et les néophytes dénatures un genres de musique qu'il n'ont jamais vu en concert de leur vie: allez une fois à un festival de TRUE METAL et vous comprendrez ce qu'on fait à Slipknot (même Bon Jovi est préféré). Si vous avez un tee shirt du Priest ou de Manowar, vous connaissez le vrai metal (ce n'est pas du fanatisme), ceux qui ont un tee shirt de Slipknot et qui pensent écouter du metal en écoutant Manson et Evanessence, ou autres P.O.D. : ce n'en est pas. En générale les teenagers n'aiment pas le TRUE METAL!!!! Il ce donnent un genre pour ce démarquer, comme les faux gothiques,les faux geeks kickoo lol, les faux punks habiller en chemises à carreaux et les emo.

Le metal est une musique qui doit s'aprécier pour sa qualité et non pour sont aspect (d'ou la confusion entre heavy, hard et néo), comme toutes musiques. Les gens qui se sentent supérieurs en écoutant de Beethoven n'aiment pas Beethoven, moi, j'aime Beethoven pour sa musique et pas parce que cela me rend plus intellectuel dans mon statuts sociale.

Merci d'avoir écouter cette philo du rock...

13 mars 2013

2001 : l'odyssée de l'espace

Voici un article sur le film de Kubrick.

13 mars 2013

Une autre citation de Frank

  • Si tu en arrives à une vie misérable et ennuyeuse parce que tu as écouté ta maman, ton papa, ton professeur, ton curé et je ne sais pas quel mec à la télévision qui t'a expliqué comment mener ta barque, c'est que tu le mérites.
Publicité
Publicité
1 2 3 4 > >>
Heavy Woarang
  • L'art est un phénomène substantiel crée par l'abstrait : Littératures, Musique (Rock), Jeux Vidéos, Cinéma et Arts Martiaux vous attendent pour découvrir ce qu'est l'essence du monde abstrait. Bientôt vous découvrirez de nouveaux horizons !
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Newsletter
Publicité